Notre logiciel de généalogie est notre compagnon de route dans nos recherches. Géanaute dans son article sur les outils de généalogie parle « d’accoutumence », la familiarité avec notre outils nous permet d’être efficace. Et pourtant, je vais aborder aujourd’hui l’évolution du logiciel de généalogie que j’utilise depuis le début à savoir: Gramps et de mes interrogations quant à notre avenir commun.
Depuis bientôt 5 ans que j’ai sérieusement commencé la généalogie de mes enfants, je n’ai utilisé qu’un seul logiciel : Gramps.
Le logiciel étant opensource, j’ai même eu l’occasion d’y contribuer très modestement. Celà suppose également que le logiciel soit porté par des bénévoles.
Récemment, il y a eu un léger passage à vide: les évolutions arrivaient mais celui qui devait les intégrer n’avais plus de temps à consacrer pour les intégrer au logiciel. Il y a eu un passage de relai.
D’autre part, la prochaine version (la « 5 ») sera l’occasion d’une grosse évolution de fond: la base de donnée pourra être stockée sur un serveur distant. Permettant ainsi de centraliser les données et de partager plus facilement les données entre plusieurs clients Gramps.
Mais, lorsque je parlais d’Ancestris dans le premier article de cette série, j’en vantais surtout l’interface. Les différentes vues simultanées des données. Et là dessus, Gramps ne semble pas trop bouger. Et c’est là que je m’interroge.
L’idée d’avoir la base de données hebergée sur un gestionnaire de base de données simplifie la sauvegarde des données, permet d’ouvrir les accès aux données sans passer par des exports/imports de données. D’un autre coté, la saisie et la consultation des informations jouent également un grand rôle pour avancer.
Donc j’avoue être partagé.
PS: il se trouve que 20 minutes avant que je publie cet article Gramps est passé en version 5 alpha 2, qui reste une version expérimentale mais tout de même les choses avancent! 🙂
arbogaste arbogast 