liste non exhaustive de l’apport de photos depuis septembre 2016
Aujourd’hui, le nombre de sources est considérable. La facilité de partager instantanément photos, documents, vidéos fait que nous pouvons être submergés par la quantité d’informations.
En l’espace de quelques mois, j’ai obtenu de mes parents, de mes oncles et tantes plus d’un cinquantaine de photos qu’il a fallu analyser pour les dater, reconnaitre les personnes, la situation, le contexte. Et j’ai constaté un drôle de phénomène.
D’abord un énorme enthousiasme, qui nous submerge,
nous nous dispersons, nous partageons à tout va mais…
La panique commence à arriver: il en vient de toute part, on se sent débordé, c’est TROP!
Et pendant ce temps, notre base de donnée reste intacte…
Cet effet est d’autant plus grand que l’attente a été longue ou le cas épineux.
La retranscription, la saisie des données, des personnes sur les photos, les dates les lieux sont des tâches fastidieuses, ingrates… mais nécessaires. Dans les situations précédemment décrite, nous n’avons pas forcément le recul, l’état d’esprit ou la patience de s’y atteler.
C’est pour celà, qu’il faut de l’autodiscipline pour dire « STOP ». Soit arrêter l’afflux, soit s’interdire de consulter les nouveaux documents et se contenter de les mettre de coté. Celà nous permettra de consulter et de saisir au fil de l’eau et en tout sérénité 🙂